Chapitre 1
Comment je suis devenu
Freelance web
OliverStreet est né d’un enchantement vieux de plus de 20 ans, quand je découvre les joies du code et les possibilités offertes par Internet.
« Sur le Net, on a tout, tout de suite, et tout existe en version gratuite. Tout le monde peut faire son site web tout seul. »
C’était une vision un peu utopique. La gratuité de certains produits (tel WordPress, que j’utilise) offre à chacun de créer son site Internet presque sans frais et « sans connaissance informatique » (hum hum). Très vite, je me rends compte que ma passion n’est que très peu partagée dans mon entourage. L’outil peut être gratuit, il n’est pas pour autant accessible à tous. Connaissant mon penchant pour ces « nouvelles technologies », un proche me commande un premier site. Il sera mis en ligne en 2001, l’odyssée commence.
Depuis, je n’ai cessé de me former, en autodidacte, tout en mettant en ligne des dizaines de sites sur la toile. Après de nombreuses formations en ligne et en présentiel (*) , je lance ma petite entreprise en 2024 : c’est la naissance d’OliverStreet. Enfin !
(*) BeCode : une année de formation aux codages, dont quelques mois de stage dans l’agence liégeoise Produweb, en 2020-2021.
(*) Cepegra : une formation de 6 mois de « Communication Numérique » et stage de 3 mois en ASBL, en 2022-2023.
Chapitre 2
webmaster mais pas que
Aujourd’hui, je suis Chargé de Communication, dans la région liégeoise, pour une ASBL aux multiples fonctions : formations d’intégration sociale orientées emploi, Ecole Des Devoirs (EDD), centre de vacances ONE, activités socio-culturelles, folklore, etc. Ce travail à temps partiel très épanouissant me laisse temps et place pour OliverStreet.
Etre freelance me permet de mettre mon expérience au service d’autres associations, de petites et moyennes entreprises, d’écoles, de clubs ou d’artistes…
Et pas seulement ! Il m’arrive aussi de délaisser le streetwear pour le workwear afin de travailler en parc et jardin, avec un ami élagueur, histoire de prendre l’air et de me déconnecter des écrans.
D’autres projets que le web m’animent, comme la création de jeux de société. Actuellement (2024), deux d’entre eux sont jouables. Par « jouables », il faut comprendre qu’ils ne sont pas encore édités (ils ne le seront peut-être jamais, comme des milliers de jeux) mais que mes prototypes, hormis l’aspect Do It Yourself, pourraient se retrouver en magasin #fingerscross.
Si vous voulez en savoir plus ou tester mes prototypes de jeux, n’hésitez à me le demander : je me ferai un plaisir de vous les présenter.
Chapitre 3
Bouteilles de visite
Et si j’associais plaisir et travail, aussi pour mes prospects ?
Exit la carte de visite traditionnelle, je veux que ma carte fasse parler de moi, qu’on pense à moi. Elle doit marquer les esprits. Après tout, c’est ça, le marketing.
Depuis mon expérience de barman dans un bar aux 800 bières spéciales belges à Bruxelles, autour de l’an 2000, je suis resté zythologue amateur.
Sachant que certaines brasseries proposent des « Bières d’étiquette » et/ou des « Bières à façon », je me suis mis en quête d’en trouver une qui propose une bière d’étiquette sans quantité minimum. C’est en parcourant la Cité de la Bière, à Liège, que j’ai rencontré le brasseur d’Artisa’Malt (Waremme). Dans sa production, il y a la Korus Rouge, une bière blonde accessible de goût qui titre à 6,5% Vol. Alc. Avec son bon caractère, elle se laisse facilement déguster. Elle me plaît. Mon choix est fait.
Petite touche qui vient confirmer mon choix, cette bière a remporté une récompense d’argent au World Beer Awards en 2020.
Me lisant, avez-vous fait la rapprochement entre ma carte de visite et la bière ?
Le titre de ce chapitre annonce la couleur.
- Se procurer quelques bouteilles de bières non étiquetées chez le brasseur ;
- Concevoir ses cartes de visite au format étiquette de petite bouteille de 33cl ;
- Imprimer les « cartes de visite » ;
- Les coller sur les bouteilles ;
- Bravo : les bouteilles de visite sont prêtes !